Les troubadours
Voila ce qui se faisait naguère et qui n'a jamais à ce jour cessé de se faire et se refaire. Tous les efforts et tout l'amour pour en dévier le cours sont toujours à l'ordre du jour. A l'aube du troisième millénaire nos bons vieux prophètes redevenus populaires sont à nouveau sur la sellette. Les dogmes religieux ravagent le cœur des hommes, les jeunes comme les vieux. A nouveau le ver est dans la pomme.
A nouveau l'histoire se répète. Au nom d'une nouvelle "Guerre Sainte" la terreur, la peur et la crainte infectent toute la planète.
Faut-il que l'homme soit bête. Car chacun sait que la haine est une bête hideuse et malsaine qui n'a, ni mémoire, ni cœur, ni tête.
Tours de guets et châteaux en ruines
Se dressaient au dessus des collines
Comme autant de vaisseaux de guerres
Pétrifiés dans la pierre.
Ce pays et son lointain passé nous racontent
Ce qui hélas! N'est pas un conte.
Pour avoir osé rêver d'un autre paradis
Et l'avoir confessé et dit.
Dieu et son bras armé n'ont cure
De brûler les Cathares à Montségur
Au nom d'une foi jugée impure.
Pure dictature en robe de bure.
Seuls, demeurent les troubadours.
Au bas de ces tours ils se meurent d'amour,
Chantent l'infinie beauté du ciel
Et les paradis artificiels.
Ici bas, rien n'est éternel,
Nous rappellent ces tours de Babel.
Sinon que l'infinie beauté du ciel.
L'infinie beauté du ciel.
Alors que je suivais du regard cette route céleste, sans crier gare apparut une big comète. Sans tambour ni trompette l'astre déployait sa superbe crinière incendiant d'une rousse lumière la vallée de l'Agly toute entière. Ceux qui croient aux astres y voient certains un signe de désastre, d'autres au contraire prédisent de grandes conquêtes.
Quant à moi je me disais " Voilà une belle manière de fêter le Nouveau Millénaire ". A la façon d'une chanson de geste, mes frères humains ménestrels et troubadours, chantres de l'amour, par delà les siècles, me transmettaient intacte leur foi dans l'homme.
Seuls, demeurent les troubadours.
Au bas de ces tours ils se meurent d'amour,
Chantent l'infinie beauté du ciel
Et les paradis artificiels.
Ici bas, rien n'est éternel,
Nous rappellent ces tours de Babel.
Sinon que l'infinie beauté du ciel.
L'infinie beauté du ciel.
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LES BEAUX BLEUS DE MON ÂME premier album (sortie octobre 2011), est l'aboutissement d’un travail personnel et collectif.
Sa forme littéraire, poétique et musicale s’apparente à un livret. Mots ciselés, musiques colorées, épicées… ont donné ce CD insolite où chaque morceau est un tableau qui nous embarque dans un univers particulier, vers une rencontre, un voyage.
Les cinq musiciens , Christophe PUCCIO, piano, Rolland GALLINA, trompette, Vincent CHOBLET percussions , Eric FLANDRIN, batterie, Hans KOLBE, contrebasse et le chanteur du sextet « Enrique SALVADOR » développent une musicalité personnelle et originale.
" Curieux du monde, ces nomades de la musique mêlent le Jazz à la Salsa, la musique brésilienne aux sonorités africaines et maghrébines et de ces rencontres, naît une véritable Odyssée.
Car l’Odyssée est un grand conte et les paroles et la musique d’Enrique SALVADOR ont le souffle des grandes traversées. "
Marie CANAL, poète, écrivain
Je partage cette belle aventure avec mes compagnons
musiciens, souffleurs et frappeurs, tous grands
amateurs de swing, de duende et de groove:
Christophe PUCCIO, piano
Vincent CHOBLET, percussions
Rolland GALLINA, trompette
Hans KOLBE, contrebasse
Eric FLANDRIN, batterie
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Enrique salvador , musicien, auteur , compositeur et interprète de musique jazzy, latino-jazzy